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18 septembre 2011 7 18 /09 /septembre /2011 14:28

Revue de L'INREES (Institut de Recherche sur les Expériences Extraordinaires),

Des articles qui témoignent d'expériences et de réflexions approfondies au carrefour de la spiritualité, de la science, de la psychologie ... par des gens ayant des parcours solides et des vécues atypiques.

L'ayant découverte depuis peu et m'y étant abonné, j'ai accès à tout le site, aux conférences et articles passées ... un vrai bonheur avec un niveau élevé de conscience et de réflexion ...

site : http://www.inrees.com/

Un site qui collecte les expériences de NDE (EMI en français) et les états modifiés de conscience http://www.notre-experience.net/.

Bonne lecture ! Amicalement.

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18 septembre 2011 7 18 /09 /septembre /2011 14:24

Mille "alléluia" cette semaine !

Chaque jour, ces cadeaux, chaque jour, son intensité et son bonheur ... au delà des mots, et des émotions, ... Des réponses qui viennent, des personnes qui évoluent, une énergie intérieure qui se libère des contraintes du passé, une confiance et une intensité intérieure d'amour et de lumière qui se déploie ...

Très loin et très proche des autres ...

Comme des vagues concentriques dont les effets se répandent autour de moi, invisiblement, vagues de tendresse et d'amour, dont les éclats m'éclaboussent : mots de sympathie, regards et échanges, énergie positive venue des uns et des autres, simple tendresse échangée, partagée ...

Chacun peut écrire une page (ou plusieurs), ou quelques lignes de ce traité de "bonheurologie", que je propose, ici, d'inventer ensemble, chacun avec ses mots et ses expériences ...

Problématique fondamentale et essentielle dans nos vies, la seule vraie question qui vaille, la seule urgence ! Être heureux, c'est ici et maintenant ! Oui, quelques soient les contraintes et les limites ... Est-ce possible ?

Je vous lance la question ! Je vous invite à partager vos trucs, vos recettes, vos réussites et vos difficultés ... Pour que ce traité de "bonheurologie" débouche sur le bonheur-au-logis-de-chacun !

Tendresse !

 

Article posté sur Epanews à l'adresse http://epanews.fr/forum/topics/pour-un-trait-de-bonheur-au-logis

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1 août 2011 1 01 /08 /août /2011 21:21

L'amour des autres nous est vital, condition de survie indispensable de notre conception jusqu'à maintenant. Bien que l'amour dont nous ayons vitalement besoin, n'ait cessé d'évoluer et ne soit pas le même, dans le ventre de notre mère, après le naissance, pendant notre enfance, et après ...

La manière dont nous avons été accueilli, fœtus, bébé, petit enfant, dans la condition de totale dépendance et d'incapacité à modifier notre environnement où nous étions, est ce qui conditionne le plus la manière dont nous pouvons aimer les autres et nous-mêmes ... Nous en gardons les plus fortes traces, positives et négatives, conscientes ou non, une imprégnation indélébile.

Comme cet accueil n'a pas été parfait, nous en gardons des failles profondes, que la vie, les rencontres, se chargent d'ouvrir naturellement. Cela nous fait alors contacter le manque profond et fondamental qui est en nous ... nous oblige à trouver des ressources au-delà des limites du "moi" tel qu'il s'est construit ... L'amour des autres, de nouveaux autres, ou un amour différent et nouveau, nous aide alors, à reconstruire une nouvelle capacité d'amour, pour nous-même et pour les autres ...

Et ce que nous apprenons à chaque fois, dans ce processus où les autres sont essentiels, c'est à découvrir plus profondément la puissance de l'amour en nous.

Nous aimer les uns les autres, n'est-ce pas nous aider les uns les autres, à reconnaître la puissance d'amour que chacun porte en lui : être le reflet pour l'autre et par delà le manque, de la plénitude possible ?


S'aimer les uns les autres ... C'est quoi ?

Chacun, à la lumière de son propre vécu, considère qu'il se comporte le mieux possible avec les autres !
Même s'il réagit avec violence et dureté, alors qu'un autre aurait pris la voie de la douceur ...

Oui : nous sommes pleins de contradictions, de peurs et d'exigences ... et nous prenons trop souvent notre perception des choses, comme l'alpha et l'oméga, pour juger de l'autre et de ce qui est bien pour lui ...

C'est pour cela que "S'aimer soi-même" comme "S'aimer les uns les autres", est un rude chemin ! L'un et l'autre n'étant pas séparé !

J'aime de mon mieux, mais étant plein de manques, d'illusions et de souffrances plus ou moins cachées, je prie la vie et ceux (dont moi-même) que je blesse par manque de sagesse, de me pardonner.

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29 juillet 2011 5 29 /07 /juillet /2011 19:56

S'identifier à une part de soi-même, c'est considérer que cette partie est "moi".

Quelqu'un qui s'identifie à ses pensées, par exemple, ne peut s'en extraire, et n'a aucun recul par rapport à elles. Il ne peut en relativiser le contenu, ses pensées définissent sa réalité. De même pour une idenfication à ses émotions, la personne vit par et pour les émotions, sans aucun recul par rapport à elles.

Une identification au corps, signifie que la personne, ne vit que par et pour les sensations corporelles et l'activité motrice. C'est cela son horizon et son essentiel. Tout ce qui touche le corps l'affecte elle, directement. Ex : le corps est malade, donc "je suis" malade. Ce qui sans signification réelle.

Comme je l'écris dans un autre post, nous ne sommes qu'exceptionnellement totalement identifié à un seul niveau de vécu (corps, émotions ou pensées).

Ne pas/plus s'identifier au corps, (/aux émotions, /aux pensées), ne signifie pas que l'on ne sent plus rien, ni que l'on est incapable d'agir (/que l'on ne vit plus d'émotions, /que les pensées disparaissent) ! Cela signifie que les sensations et l'action sont un élément du vécu, dont on est conscient, que l'on vit normalement et pleinement, mais que ces deux éléments sont une partie de ce qui accède à/et est pris en compte par la conscience.

Ne plus percevoir son corps, relève de l'expérience mystique, du sommeil ou de la pathologie. il y a des états de conscience dans lesquels le corps n'est quasiment plus perçu, et c'est une tout autre dimension de la vie et de l'être qui est massivement privilégiée dans ce qu'accueille la conscience.

Une personne identifié au corps qui vit un tel état, à tout simplement la sensation de n'avoir "plus été là" pendant un tel vécu, et n'en garde aucun souvenir. Si la personne s'identifie aux émotions ou à la pensée, et si l'expérience vécue touche à des niveaux trop subtiles de conscience, la personne n'en gardera que des traces émotionnelles et mentales, sans pouvoir connaître/reconnaître toute la profondeur de l'expérience ... qui lui sera pourtant bénéfique : une partie d'elle aura accéder à une vérité très profonde d'elle-même, cela bouleverse et construit.

Le corps est cependant, le centre focal et le support de la conscience pendant la vie terrestre, c'est ce qui fait que la conscience identitaire existe. Si la conscience peut voyager dans des territoires intérieurs infinies, elle reste centrer sur le corps, même si elle ne le perçoit plus. Selon ma compréhension/ expérience personnelle des choses, naturellement.

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28 juillet 2011 4 28 /07 /juillet /2011 21:01

S'aimer soi-même ...

D'abord il y a l'amour ... une énergie fondamentale qui nous amène à la vie ...

Que sommes nous ... que nous puissions aimer ... ou pas ?

Comme le surfeur sur le vague, chacun d'entre nous "surfe" par sa conscience, avec son "moi", sur la vague de vie qui le porte ...
C'est cela le corps : la vague que nous donne la vie pour "exister", apprendre, apprendre à aimer, aimer, ... Vague/corps où tout est inscrit : le bonheur inaltérable, la souffrance, les blessures et les joies, les émotions fondamentales, l'intelligence naturelle, vivante, qui fait que nous nous adaptons, pour le meilleur et le pire à notre environnement humain, que nous occultons ou mettons en avant certains aspects de notre potentiel, etc ... Tout cela pré-existe à la pensée, au "moi". Tout cela le constitue, mais le "moi", "je", n'en connaît qu'une minuscule partie : "ce qu'il croit qu'il est" ...

Et si la question se pose : "S'aimer soi-même, qu'est-ce que c'est ? pourquoi ? comment ?" c'est bien parce que, du point de vue de notre "moi", "aimer", et "être soi" posent questions ...
Du point de vue de la vie, il n'y a pas de question : l'amour est.

Alors d'abord, s'aimer soi-même "Qu'est-ce que c'est ?"

Suivant ce que je crois que je suis, "s'aimer soi-même" sera différent ...
Si je m'identifie à mes intuitions, l'amour c'est accueillir ce qui vient, et s'aimer soi-même sera une manière d'être au monde ...
Si je m'identifie à mes pensées, l'amour sera un concept, et s'aimer soi-même, une logique ...
Si je m'identifie à mes émotions, l'amour sera une émotion, et s'aimer soi-même, dépendra des émotions que j'éprouve.
Si je m'identifie au corps-objet, l'amour sera "me faire du bien" ...
Si je suis "conscience de" toutes ses dimensions, sans m’identifier à aucune ... S'aimer soi-même, sera simplement "être conscience", porteur d'une présence à soi agissante, mais libre de tout attachement ...
Bien sûr, nous ne sommes jamais unilatéralement l'un ou l'autre de ces aspects, nous naviguons entre ces différentes dimensions, avec, cependant, une ou deux que nous privilégions ...

"Pourquoi ?"

La question se pose si nous manquons d'amour, si, à travers les autres ou à notre propre regard, nous ne ressentons pas d'affection, de sympathie, d'amitié pour nous-mêmes. Nous nous ressentons alors comme ayant quelque chose de "mauvais", de "négatif", de "pas comme il faut" en nous, soit à notre propre regard, soit au regard des autres ...

"Comment ?"

Comment faire pour accueillir l'amour de la vie en nous, pour reconnaître cet amour, vivant dans la personne que nous sommes, et dans la vie que nous menons ?
Il faudrait devenir conscient de ce qui, en nous, fait obstacle, à cette conscience de la vie et de l'amour ...
Qu'est-ce qui fait obstacle ?
L'identification à une partie de nous-même ... Mais cette identification vient de souffrances et d'incompréhensions inscrites en nous, dans notre corps, dans nos fonctionnements émotionnels, dans notre manière de voir le monde, et que nous ne reconnaissons pas comme telles ...

La piste serait donc d'être attentif à soi, à ce que l'on éprouve, de ne pas nier les mal-êtres, les douleurs, les souffrances ... de les vivres sans les juger, sans croire qu'ils font de nous quelque chose de mauvais, de "pas bon" ... Et en cheminant avec/en ressentant ces blessures profondes, nous découvrirons notre fragilité, nos failles, ... si nous ne sommes plus dans un moralisme ou un conformisme étroit, l'amour, pour l'être blessé que nous sommes, jaillira ... Ayant eu la force d'accueillir "ce qui fait souffrir", nous découvrirons l'amour jaillissant en nous ... Nous découvrirons aussi, la force de guérison extraordinaire qui est nous, en nous, la véritable lumière qui est "ce que je suis" ...
Mais sans accueillir authentiquement notre fragilité .... nous ne pourrons pas découvrir cette force d'amour et cette lumière ...

Alors ... S'aimer soi-même ?

Ne serait ce pas : "découvrir/reconnaître, encore et encore, l'extraordinaire puissance de l'amour en nous, au-delà des apparences de fragilité et de mal-être que nous traversons" ? Découvrir, que la plus grande puissance intérieure, est la confiance, la "foi" en "ce qui est" ? Ce "ce qui est" étant inscrit en totalité dans notre être, corps-esprit unifié ?

Amicalement.

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22 juillet 2011 5 22 /07 /juillet /2011 17:39

Imparfait malgré l’intensité que je vis ! Rassurant ! Je me suis laissé emporté comme les autres par les discussions.
...
Ce qui m’arrive ne fait pas de moi quelqu’un de spéciale, ni le centre du monde.
Si certains revendiquent ce qu’ils ne possèdent pas, pour ma part, je suis très vigilant à ne pas m’approprier ce qui me traverse … Les cadeaux de la vie, le cadeau de la vie, ne nous ait pas du ! Et c’est bien moi qui suit au service de la vie, et non l’inverse !
...
Tellement de gratitude pour la vie ! Être vivant, est une fête ! Je ne cherche rien, et tout est donné. Définition de la Plénitude ! C’est énorme, immense, ce bonheur, cette plénitude, cette présence intérieure … C’est émouvant, cela touche la profondeur et la surface, toutes les dimensions de l’être … Respiration. Plénitude.

Au boulot, pendant un bref temps de pose.

 

Ecrit le 14/04/2011.

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22 juillet 2011 5 22 /07 /juillet /2011 17:24

Un Jeu dangereux, à la vie, à la mort !

Un Jeu qui engage nos âmes, nos corps, et ceux qui nous entourent !

Il y a une force, comme un soleil. Je lui demande de se calmer, heureusement qu'elle m'écoute parfois !

Elle est si belle ! Elle est amour ! Elle "parle/vit/vibre" tout le temps !

Ce n'est pas sérieux ce que j'écris ! C'est juste des impressions, je les observe : elles ont du sens ... Elles indiquent un chemin ! Je ne sais pas encore ce qu'il sera ... C'est un Jeu dans l'intérieur ! Un Jeu de piste !

Au bout d'un moment ... l'évidence s'impose ! Un acte est posé, et le nouveau chemin s'engage !

C'est beau, c'est simple ... Je ne fais rien ! C'est comme de la musique ... Il y a un rythme ... au moment juste, le tempo change ... en harmonie !

Merci ! Bonne nuit ! Je vais au dodo !

 

Ecrit le 10/04/2011.

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21 juillet 2011 4 21 /07 /juillet /2011 17:50

Je suis joie, je suis peine,
je suis doute, je suis foi,
je suis solitude, je suis entouré,
je suis colère, je suis peur,
je suis hésitant, je suis sûr,
je suis aise, je suis mal-aise,
je suis pensée, je suis senti,
je suis émotion, je suis intuition,
je suis flot, je suis figé,
je suis glace, je suis vapeur,
je suis passé, je suis futur,
je suis absence, je suis conscience,
je suis agonisant, je suis plénitude,
je suis agité, je suis sérénité,
je suis blessé, je suis entier,
je suis prétention, je suis humble,
je suis sagesse, je suis folie
je suis paix, je suis violence, …

je suis « MAINTENANT »,
je suis « ICI », et,
   … bonheur, est …
simplement.
         ....
Je suis vent, je suis pluie,
je suis jour, je suis nuit,
je suis aube, je suis crépuscule,
je suis lune, je suis soleil,
je suis faim, je suis satiété,
je suis manque, je suis comblé,
je suis corps, je suis esprit,
je suis rien, je suis tout,
je suis mensonge, je suis vérité,
je suis silence, je suis cri,
je suis trouble, je suis clarté,
je suis divisé, je suis unifié,
je suis désir, je suis éteint, ...


Mais ICI ET MAINTENANT,
au cœur de la dualité,
en son centre et l'englobant,
palpite une vie, une conscience-présence,
une Unité intérieure à laquelle rien n'échappe ...
Cheminant sur les cimes de la présence,
précipices insensés, de tous côtés,
chutant sans arrêt, un pas après l'autre,
avançant dans l'air raréfié
et plein de lumière,
vibrant de fragilité, d'amour, de compassion,
de tendresse, d’intelligence et de folie,
comme un soleil meurt à chaque nuit,
ne cesse pourtant pas de vivre,
et naît, lumineux et resplendissant
magnifique comme jamais
à la nouvelle aube, ...
s'élève quelque chose, au cœur de la perte,
une bénédiction, une présence, une gratitude,
un "Alléluia", une confiance, un "Merci",
au cœur du silence ...

Tendrement.

Une chanson ... Trop sombre pour la lumière dont je parle, mais qui résonne de sa nostalgie ...

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25 juin 2011 6 25 /06 /juin /2011 19:45

Un auteur, et mon expérience personnelle va dans ce sens, affirme que nos vies sont conditionnées par la manière dont nous vivons notre naissance biologique et ses quatre étapes (Psychologie transpersonnelle, Stanislav Grof). Les événements qui viennent après vont simplement infléchir, enrichir, complexifier, renforcer ou diminuer certains aspects de cette trame de base, sans en modifier le fondement, c'est-à-dire les attitudes et les dynamiques psychiques inscrites dans le bébé par ce vécu.
Ce vécu crée des failles, ainsi certaines situations de notre enfance, même délétères, ne nous toucheront pas, et d'autres seront comme des coups de marteaux dans nos cœurs, même si leur violence réelle est relative.

En se sens, nous sommes tous, avant même d'en avoir conscience, des traumatisés de la vie !

Il y a quelque temps, à propos de la souffrance dont témoignait une personne, je proposais ce point de vue (adapté à ce sujet) :

"Tu as, à l'intérieur de toi, un réacteur de souffrance atomique extrêmement puissant. Et autour t'as construit une enceinte de confinement, super béton armé, hyper épaisse ... mais pas moyen : elle fuite en permanence, la souffrance diffuse dans ta vie, quoique tu fasses, bon par moment tu l'oublies, mais souvent elle remonte : conduites d'échec, peurs, réactions excessives ou faussées, que tu découvres trop tard ou jamais, sentiment d'inconfort ou de mal-être que rien ne justifie, impression d'étrangeté dans un monde familier, sentiment perpétuel d'imperfection, ...

Et toi, maintenant, tu n'as pas accès au réacteur.

Tu vas me dire : "A quoi ça servirait que j'ai accès au réacteur de ma souffrance atomique ?" C'est simple (à expliquer, et quand on l'a vécu, ce n'est finalement pas si terrible) :
Si tu acceptes de prendre connaissance, de prendre conscience par et dans ta chair, par et dans ton âme, et de revivre cette terrible souffrance, c'est à dire que tu l'accueilles dans ta conscience et dans ta vie ... Alors :
1 - tu sauras enfin ce qui s'est passé et qui est à l'origine de toutes les "petites" souffrances de ta vie,
2 - en prenant conscience de cette énorme souffrance, tu reconnaîtras l'infini fragilité de celui qui a subi l'agression qui a causé sa souffrance.
3 - reconnaissant cette fragilité, ton cœur fondra d'amour, de pardon, de tendresse pour cet être infiniment fragile qui a, néanmoins, et malgré tout, survécu à cette terrible épreuve ...Tu sauras que tu n'es coupable ni responsable de rien, que c'était "le destin".
4 - tu pardonneras aussi à ceux par qui cette blessure terrible t'es arrivé ... Eux mêmes blessés et souffrants.
5 - tu découvriras, avec le temps, que cette blessure guérissant par les processus ci-dessus, non seulement tu guéris, mais en plus, qu'une joie, une plénitude, une paix, un amour immense, énorme émergent lentement ... Quelque chose d'une telle intensité, et évidence, qu'il sera clair sans aucune discussion, que ce passage difficile que tu as vécu, toute la misère éprouvée pendant des années et des années, tout cela, finalement, valait le coup de par ce bonheur "au-delà du possible", que tu découvriras alors ... L'épreuve aura donner naissance à ton âme spirituelle ...

Bon je conclue : donc il faudrait que tu es accès à ton réacteur de souffrance atomique.

Et tu sais ce que la vie essaye de faire ? Quand tu es prêt, elle essaye de fendre assez cette enceinte de confinement (bon, il y en a peut-être plusieurs, alors l'une après l'autre), pour que tu puisses rentrer à l'intérieur ! Pas tout casser, non, l'enceinte elle a son utilité, mais l'ouvrir, pour que tu puisses mettre la tête, et tout le reste dedans ...que tu sois consumé ... et transformé. Qu'enfin, tu reconnaisses l'être de Lumière que tu es et a toujours été ... (ça parait grandiloquent et con ce que j'écris, mais c'est une formulation symbolique d'une réalité qui se vit).

Pour que ton réacteur de souffrance atomique, devienne ton réacteur d'AMOUR atomique ...

Bon, j'avoue : on peut mettre en doute mon propos ... mais c'est ce que j'ai vécu, c'est que je vis.

En réalité, les autres peuvent bien nous dire ce qu'ils veulent, tant qu'on a pas pris conscience, nous-même, et comme une explosion atomique psychologique, de la réalité et des conséquences massives de nos erreurs de perception, d'intelligence et d'action dans la vie ... Rien ne change."

Ainsi la clef de nos vies, la clef du bonheur est d'accueillir par notre conscience, tout ce qui vient, ce qui blesse comme ce qui guérit, les coups et les blessures, les joies, les paix, les guérisons, les tensions, le sens et le non-sens ... Et surtout de ne pas faire semblant, de ne jamais tricher avec nous-même et avec nos ressentis !

Ainsi, nous avons une chance que notre misère, nos souffrances, se transforment en Pardon, Lumière et Amour ...

Qu'en pensez vous ? Fraternellement.

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17 juin 2011 5 17 /06 /juin /2011 06:34

Ces réflexions viennent de la lecture de nombreux sujets sur le forum psychologie de Doctissimo, dans lesquels les personnes manifestent affolement, désespoir, agitation, réactions émotionnelles excessives qui augmentent encore les difficultés qu'elles rencontrent.

Ce projet peut paraître prétentieux, mais si une seule personne y trouve intérêt, je n'aurai pas perdu mon temps ! C'est juste une main tendue, des pistes à creuser, un essai presque vain, qui ne vaut que par l'intention de celui qui l'a écrit !

1 - Crises et moments difficiles font partie de la vie.

Personne n'y échappe.

Crises psychologiques, relationnelles, professionnelles, familiales, liées à des accidents, des changements imprévus, la maladie ... Crises brèves, brutales, qui s'éternisent ou s'apaisent rapidement, crises qui couvent, tension latente, qui émergent et finissent par balayer tout un aspect de notre vie ...

Personne n'échappe aux crises, aux difficultés, aux souffrances, aux impasses ...

2 - Ce qu'apportent les crises et l'importance de notre attitude.

Les crises remettent en cause des status quo, psychologiques, personnels, professionnels, familiaux, des compromis, des situations plus ou moins en équilibre.

Quand nous avons surmonté une crise, petite ou grande, nous avons découvert des aspects de nous-même et de la vie que nous ignorions, notre champ de conscience, notre compréhension de nous-même, des autres, et de la vie se sont étendus.
Des comportements, des modes de penser, des réactions affectives ont évolué, ont changé ou disparu, d'autres sont apparus.

Selon comment nous affrontons une crise, l'évolution de la situation peut-être plus ou moins favorable ou défavorable. Notre attitude peut aggraver la situation, ou l'améliorer, elle peut rendre possible l'ouverture de possibles que nous ignorions, ou nous enfermer d'avantage dans l'impasse.
Même quand tout paraît sans issue, un retournement est toujours possible.

3 - Comment affronter au mieux les crises.

Chacun étant très différent, exprimer des généralités est délicat, limite imbécile !
Mais allons-y !

Ajouter de l'affolement, des suppositions défaitistes, de la peur, augmente la difficulté et diminue notre capacité à l'affronter.

Les sentiments de désespoir et d'impuissance peuvent être très puissants. Mais ils sont des moments passagers, qui nous détachent de certains blocages, et nous ouvrent à de nouveaux possibles.
Ils alternent souvent ou parfois, avec la colère, la révolte, le rejet. La colère remet en cause, la situation, nous décharge d'une tension, nous pousse à voir plus loin et profondément dans ce qui est douloureux. Son expression incontrôlée peut aggraver la situation.

Une part de nous n'est pas affectée par la situation. Il est important d'être conscient de ce qui se passe en nous, de ne pas adhérer à, de ne pas "croire" que, nous sommes les émotions qui nous traversent. De chercher et de regagner autant que possible ce calme intérieur, cette présence en nous, qui voit et écoute sans juger.
Une autre manière d'approcher cela, est de s'ancrer autant que possible dans la conviction que la situation a un sens, qui se dévoilera tôt ou tard, d'avoir "foi" dans le fait que notre vie, et l'Univers, ont un sens, positif, constructif, bénéfique, malgré les apparences contraire que nous percevons ...
La présence à soi, et la conviction du sens bénéfique de la situation, sont les deux faces d'une même pièce.

Enfin, accepter que la vie continue, que nous ne savons pas "de quoi demain sera fait", malgré le fait que nous aillons le sentiment d'être "au bout du rouleau". Car c'est de la vie que nous recevons intérieurement ou extérieurement, les réponses.

Voilà mes propositions ... Qu'y ajouteriez vous ? Qu'est-ce que vous modifieriez ? Qu'en pensez vous ?
Amicalement.

___________________________

19/06/2011.

J'ajoute à mon propos précédent quelques éléments.

Le fait de traverser une ou des longues épreuves, nous conduit souvent à éprouver une forte négativité à l'égard de nous-même : culpabilité, sentiment d'être mauvais, ou de porter en nous quelque chose de mauvais ou de néfaste, impression d'être victime d'un mauvais sort ...
Pourtant nous ne sommes pas, en général, conscient et maître ce ce qui est à la source de nos difficultés ... Nous n'en sommes donc pas coupable, ni consciemment responsable. Étant humain et faillible, les épreuves ne sont pas là pour nous "enfoncer", mais pour nous aider à découvrir le meilleur en nous, à sortir des aveuglements qui créent ou amplifient la souffrance ou le malheur, pour nous donner les clefs d'un bonheur durable ...

Les épreuves bousculent nos attentes, ce que nous imaginions, nos projets, nos croyances, l'avenir tel que nous le pensions, nos certitudes quant au bien et au mal ... En ce sens, pour les affronter de la meilleure manière, nous devons nous détacher de ces projections, pour en revenir à l'unique réalité : le présent.
Si j'ai quelque chose à faire, pour améliorer les choses, que je le fasse.
Si rien n'est possible, alors simplement accueillir la réalité du moment, sans projeter quoique ce soit sur l'heure, la minute, la journée, les semaines qui viendront ...
L'épreuve est là, mais aussi le rayon de soleil, qui frappe à ma fenêtre, le regard amical d'une commerçante, une idée nouvelle, une manière différente de voir et comprendre la situation qui me traverse l'esprit, une intuition et une piste, l'apaisement de ma tension, devant une émission de télé que j'apprécie, le plaisir d'une activité que j'aime bien, la tristesse de me sentir si fatiguée, la reconnaissance de ma fragilité et son acceptation, et la paix que cela apporte, le coup de fil de quelqu'un qui s'inquiète ...

Être dans le présent, toujours et encore, dans la vérité de ce que nous éprouvons, sans jugement ni peur, dans l'amitié avec nous-même, est ce qui nous permet d'affronter les dangers avec le maximum de sérénité, d'équilibre tout en accueillant les indices qui nous guident vers le mieux être ...

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